Grèce : pourquoi tout le monde est perdant

Editorial du « Monde »: Un sentiment domine au lendemain du sommet de l’eurozone, réuni dimanche 12 juillet à Bruxelles, pour sauver la Grèce de la faillite : l’amertume. Certes, Athènes reste dans la zone euro. C’est ce que voulaient François Hollande, l’Italien Matteo Renzi et vraisemblablement aussi la chancelière Angela Merkel. Mais à quel prix ? Le premier ministre…